FiftyFifty et le Vélo Vert Festival, pour la mixité & contre les violences faites aux femmes.

Née de belles rencontres dans le monde du sport, du médical et de l’évènementiel, l’association Fifty Fifty a été créée pour faciliter le lien entre ces différents univers et pour porter des actions concrètes et efficaces, notamment, pour plus de mixité dans le sport.

En parallèle de ces actions, Fifty-Fifty porte des programmes de reconstruction par le sport, la voile, le vélo et le ski en particulier, pour des femmes et des enfants victimes de toutes formes de violences. Ces programmes associent le monde médical, avec celui du sport et de la recherche universitaire. Fifty-Fifty, c’est aussi, 15 marraines et parrains, tous sportifs de haut-niveaux, responsables et engagés.

Ce partenariat avec le Vélo Vert Festival a de suite trouvé son sens grâce aux valeurs communes que sont la pratique du sport, le dépassement de soi, le courage, la solidarité, l’effort et le plaisir. Car oui, le vélo est un excellent outil de reconstruction, de santé et de liberté.

Le Vélo Vert Festival est un événement 100% vélo et 100% engagé. Lors de l’inscription, les festivaliers et festivalières peuvent arrondir leur panier afin que ce don soit reversé à l’association. Très concrètement, il permet le financement des programmes de reconstruction par le vélo pour des femmes victimes de violences.

Le vélo évoque la notion d’autonomie et donc de liberté. À la fin du 19ème siècle, le vélo a été l’outil qui a permis aux femmes d’acquérir le droit à la liberté, à la mobilité et à l’émancipation. C’est aussi un outil de santé : bon pour le corps, le cardio et accessible à tous ! C’est un sport complet qui sollicite toutes les parties du corps tout en préservant les articulations. Amateur ou confirmé… tout le monde peut faire du vélo !

Enfin, le vélo comme outil de reconstruction. C’est le cœur du projet FiftyFifty : proposer des programmes de reconstruction par le sport, notamment le vélo. Le vélo est bon pour le moral, il permet aux femmes victimes de violences d’acquérir une confiance en soi, en leurs capacités physiques et mentales, réparer ce qui a été abîmé, de créer du lien social et, ainsi, de se reconstruire.